Voici les paroles empreintes de noblesse que Fidel prononça en 1953 après qu’il eut été fait prisonnier, ainsi que vingt-cinq de ses compagnons, après l’attaque manquée de la Moncada. Qui peut, ne serait-ce qu’imaginer les Ayrault, Le Pen, Onfray, Courtois, Cambadélis, et toute la multitude tourbeuse des nains insulteurs de géants, prononcer de telles paroles […]
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